Soutenir la pêche, faciliter la gestion des ports

Baisse des quotas de maquereau​

En cette fin d’année, le poisson tient une place d’honneur sur les tables des fêtes. Pourtant, la situation de nos pêcheurs reste préoccupante. Le chiffre d’affaires de 1 200 navires français, de Dunkerque à Bayonne, va être fortement impacté par la .

Cette espèce, accessible aux ménages, est aujourd’hui . Il est urgent de lui laisser le temps de se reconstituer.

Mais il est tout aussi crucial de veiller à ce que les pays tiers, avec lesquels l’Union européenne a signé des , gèrent cette ressource de manière aussi responsable que nous. Nous devons nous assurer que les poissons importés ne proviennent pas de stocks surpêchés.

J’ai alerté la ministre de la Mer dès le 5 décembre sur cette situation et je reste mobilisé aux côtés de nos pêcheurs. Ils font partie de la solution pour préserver nos océans et nous devons tenir compte de leurs avis.

a bien acté une baisse impactante pour nos navires de pêche : le quota provisoire français est divisé par sept, soit 2 427 tonnes jusqu’au mois de juin.

Le modèle de gestion "société portuaire" accessible aux collectivités locales

Bonne nouvelle : les collectivités locales pourront désormais adopter le modèle de la « société portuaire » pour la gestion de leurs ports. Jusqu’ici réservé aux 17 grands ports décentralisés par l’État, ce dispositif s’étend désormais à tous les ports décentralisés. Le principe ?

La collectivité pourra entrer au capital des ports qu’elle gère. La société portuaire permet d’associer la collectivité et la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), offrant ainsi plus d’autonomie, des apports financiers optimisés et une gestion du port en tant que concessionnaire.

Ce nouveau modèle est désormais accessible à toutes les collectivités, et notamment aux ports de Cornouaille.

L'essentiel de la loi :

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