Mardi 12 janvier, nous avons examiné la proposition de loi de notre collègue Patrick Chaize, sur la réduction de l’empreinte environnementale du numérique. 
J’ai pris la parole en séance sur l’article 1 qui vise à sensibiliser les plus jeunes à l’impact écologique de nos appareils et de nos écrans. 
J’ai voulu rappeler que la préservation de notre attention, en premier lieu celle de nos enfants, était également un enjeu clé à prendre en compte dans nos parcours de formation, de même que l’apprentissage de l’esprit critique et l’accompagnement dans les usages. 
Afin de lutter contre la sur-information et la mal-information.
J’ai cité à ce propos les travaux de Rudy Reichstadt et Gerald Bronner

Je suis intervenue en séance publique le 8 décembre 2020 dans le cadre de l’examen de la Proposition de loi sur la Gouvernance et performance des ports maritimes français.

Dans le cadre du débat sur l’illectronisme et l’inclusion numérique suite au rapport de Raymond Vall, j’ai interrogé M. Cédric O, Secrétaire d’État chargé de la transition numérique et des communications électroniques sur le déploiement des conseillers du numérique.
« Toutes les collectivités peuvent postuler » a rappelé le Ministre Cédric O. « Notre volonté c’est d’avoir à la fin de l’année 2500 conseillers du numérique sur le terrain.« 
Comme je l’avais également fait en séance la veille, il a également cité le dernier ouvrage de Gerald Bronner « Apocalypse cognitive ».
J’ai par ailleurs évoqué le travail de Jean-François Lucas, Docteur en sociologie, pour un accès universel aux services numériques de base.

Je suis intervenue dans le cadre de l’examen de la proposition de loi visant à définir et à protéger le patrimoine sensoriel des campagnes françaises.